Je suis venu ici. Je vous ai entendu, je vous ai écouté.
Maintenant, à vous de m’écouter.
Voilà, je suis un laïc pur. Ceci signifie que je tolère la
présence de toutes les religions dans mon pays la France. La Catholique, la Christianiste, les
athées, les musulmans dont le Coran est la parole de leur prophète Mahomet, les
juifs avec la Tora
– réplique des anciens testaments -, mais loin de moi l’idée de me plonger dans
les gouffres obscurantistes de la cabale, les bouddhistes, les taoïstes, et
toutes les autres religions monothéistes ou muti-théistes.
Mais je ne tolère pas le sectarisme, tel les témoins de Jéhovah
que vous êtes.
Pour ma part, je suis gnostique. Il ne s’agit pas de secte. La
gnose provient du grec « gnosis » et signifie la connaissance. Jésus
possédait la gnose et l’Alchimie spirituelle. Il enseignait sa connaissance par
la parole sous forme de paraboles afin que tous puissent le comprendre. Ses
disciples écrivirent ensuite les évangiles et on poserait comme idée que le
dernier évangile serait celui du Christ en personne. Ce que prétend David
Gibbins. Une légende et un livre unique en son genre. Ou bien encore,
l’évangile de Jude, frère cadet de Jésus, comme le prétend Françoise Chandernagor.
Quelle imagination Messieurs Dames.
Cependant, l’Eglise romaine et Catholique a falsifié certains
évangiles afin de faire ressurgir les mythes oubliés – essentiellement
égyptiens et grecs.
On a retrouvé des papyrus autour des années quarante, dans des
jarres ou les clans demeuraient : celui du Nazaréen mais aussi celui de
Simon le Mage et sa compagne Hélène. Pour Jésus, sa compagne se nommait Marie
de Magdala ou Marie-Madeleine. Non, il parlait et les disciples écrivirent des
années plus tard. Tout comme Socrate et sons disciple Platon. Tout comme
Mahommet et c’est d’autres qui écrivaient.
Jésus réalisait des miracles, il guérissait des malades, des
aveugles, des paralysés et il avait même le pouvoir de ressusciter les morts.
Lui-même d’ailleurs ressuscita nous dit la légende. Peut-on le croire ? Je
ne sais pas, je pense qu’il est mort sur la croix pour nous pardonner nos
péchés.
D’autres que lui étaient miraculeux, comme
Simon le Mage et sa compagne Hélène.
Jésus était un homme de chair et de sang et il couchait avec
Marie de Magdala. Et certains de ses disciples en étaient jaloux.
Lorsqu’il décida de se rendre à Jérusalem, il monta sur un âne,
animal de bas étage, monté en Amazone comme les fameuse guerrières.
Cela signifie qu’il avait réalisé l’équilibre parfait entre sa
part masculine et sa part féminine. On pense qu’il couchait aussi avec des
hommes. C’est probable et non répréhensible. Aujourd’hui, on vient tout juste
d’accorder le mariage aux homosexuels et aux lesbiennes.
Revenons d’abord sur l’alchimie spirituelle que possédait Jésus
et le maître incontestable qu’est Karl Gustav Jung.
1ère étape : l’œuvre au noir. Il s’agit de se
débarrasser de tous nos préjugés (politiques essentiellement). On garde les
bons et on chasse les mauvais. C’est dangereux et pousser au suicide (voir
Emile Cioran).
2ème étape : l’œuvre au blanc. On lave la
matière. Eliminer les traces des résidus brûlés au cours de l’œuvre au noir
afin de préparer le terrain et de l’ensemencer de connaissances bénéfiques et non pas de croyances.
3ème étape : l’œuvre au rouge (rubeus, el homra)
Cette étape constitue une sorte de cuisson au rouge, au feu dans
l’athanor de l’Alchimiste. L’Alchimiste travaille soit avec sa compagne, soit
avec son compagnon. On cuit la matière, c’est-à-dire les éléments et
connaissances que nous acquérrons au fil du temps.
4ème étape : La coagula ou conjonction.
On réalise ici ce que Jésus a fait, l’équilibre parfait de notre
part masculine avec notre part féminine : les fusionner. Il ne s’agit pas
de devenir homosexuel ou lesbienne, loin de là.
Cette expérience
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